lutte contre les manipulations de l’information
PITCH
La session PEC LMI du salon ECW 2024 s’articulera autour du thème : « l’homme au cœur des ingérences numériques et des manipulations de l’information ». Ce thème est majeur après une année électorale dense mais aussi dans un contexte de relations internationales tendues, où la cohésion nationale doit impérativement être préservée/renforcée face aux multiples menaces de fractures.
Une première table ronde exposera les vulnérabilités humaines et les outils techniques associés, les biais juridiques utilisés par nos « adversaires informationnels » pour rendre leurs attaques plus efficaces et rentables, mieux camouflées, ainsi que les perspectives associées.
Une seconde table ronde traitera du point particulier de la jeunesse, cible majeure de certains adversaires. Très friande de numérique sans avoir toujours le recul nécessaire, elle peut rapidement se voir proposer/adhérer à des théories nuisibles à la vie en collectivité et à leur plein épanouissement. Les outils utilisés mais les pistes de solution seront également exposées au cours de cette séance.
PRE PROGRAMME
Une première table ronde sur la jeunesse visite à approfondir le sujet de la vulnérabilité de la jeunesse face aux manœuvres de désinformation, et à présenter :
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la réalité de la menace avec ses vecteurs principaux et les modes d’action majeurs identifiés, notamment les aspects cognitifs ;
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les qualités intrinsèques de cette « jeunesse connectée », qui lui permettent de faire face et de s’adapter ;
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les opportunités offertes par l’évolution technologique et « l’IA éthique » pour se prémunir de ces acteurs hostiles et reprendre l’initiative.
Intervenants : (modération général Bruno Courtois)
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Un intervenant psychologie-guerre cognitive ;
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Un intervenant ministère éducation nationale ;
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Un industriel
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Une cadette de la cyber
Public visé : étudiants, industriels, chercheurs, sociologues, représentants de l’Etat
Une seconde table ronde autour de la thématique suivante : l’homme représente la force principale des armées dans le champ opérationnel et peut devenir leur faiblesse dans le champ cyber.
Deux cas emblématiques récents : plusieurs mois de piratage d’un grand groupe industriel français et géolocalisation des troupes russe par le social engineering. À chaque fois, le moyen d’agir est le même : le biais humain ; imprudence, négligence, méconnaissance et excès de confiance des personnes propres à chaque organisation.
Alors que la menace s’est inscrite dans un continuum cyber-numérique-informationnel-cognitif, le facteur humain est devenu le vecteur de la menace. Ainsi, maîtriser son empreinte numérique, connaître les modes d’action malveillants, protéger ce qui doit l’être sont autant d’aspects qui permettent d’atténuer voire écarter le risque le plus élevé, celui lié aux facteurs humains.
Public visé : industriels, chercheurs, sociologues, psychologues, représentants de l’Etat, des armées et des forces de sécurité en particulier.
Animée par le général DUFILHOL, cette table ronde regroupera 3 à 4 personnes :
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un ou deux représentants de la cybersécurité de grand groupe ;
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un officier supérieur de l’état-major des armées sur les sujets cyber et influence ;
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une psychologue spécialisé dans l’analyse des comportements (organisations, individus et menace) – Nathalie Granier.